samedi 15 juin 2013

Westfallia, yoga, Bouddha et Scarlett O'Hara



La mode est un éternel recommencement, tout le monde le sait.  Vraiment agaçante que cette répétition du copier-coller ! Un vrai fourre-tout de thèmes récurrents dont les grandes marques s'inspirent continuellement.  Ma fille (mon cheval sauvage lunaire) tripe (ou trippe à votre goût) Westfalia ! Vous savez, la petite camionnette Volkswagen des années 50-60 ?  Lorsqu'on a refait sa chambre, Mademoiselle Grano voulait son cadre !  Je me suis dit : -''Bonne chance Nicole !''.  Surprise, ce fut facile.  J'étais pas à jour dans les in et les out ! 

-Mais veux-tu bien me dire pourquoi tu aimes autant la Westfalia ?  Lui ai-je demandé.
-C'est mode, c'est mon genre.  Pis tu devrais savoir, c'était dans ton temps ça ! M'a t'elle répondu.

Justement, non pour l'automobile mais oui, pour la mode grano qui jouit actuellement d'un engouement collectif mondial atteignant même ma propre progéniture, mes 3 enfants au grand complet. J'ai connu cette époque et je n'en ressens aucune nostalgie !  Bottes et chemises de bûcheron en prime ! Y a pas quelqu'un qui pourrait inventer quelque chose de vraiment nouveau ? Tenez, cette année, on voit beaucoup la marinière.   Merci à Coco Chanel qui a trouvé son inspiration au vestiaire des marins français et qui l'enfilait avec son pantalon de jersey et même ses espadrilles de toile dans les années 30.  Or, moi, pu capable, !  J'en avais une collection démesurée dans les années 80, j'aurai dû les garder ! 

Le yoga aussi revient à la mode !  Je sais, j'en suis accro.  Je vous prédis que le ballet jazz va revenir en force et que je vais être appelée pour donner des cours. Attendez pas trop longtemps que l'arthrite me pogne ! Que dire des Bouddhas, on en voit partout.  La folie des anges, elle, est enfin passée mais le retour du crucifix est à venir !  Encore beau que quelqu'un ne ce soit pas encore décidé à remettre sur le marché les grandes robes extravagantes (avec un corset) ''D'autant en emporte le vent''.  Scarlett O'Hara a beau sommeiller en moi, y a une limite.  

Aucun commentaire: