dimanche 17 octobre 2021

Marcher, écrire, vivre



Le Grand défi Pierre Lavoie aujourd'hui. 

Dire qu'il y a quelques années, j'écrivais à tous les jours sur mon blogue. C'était un besoin viscéral, pour le plaisir de partager. Doucement, je me suis sevrée. J'aime moins étaler ma vie privée sur mon blogue. Je deviens pudique, parce que maintenant, les réseaux sociaux font peurs, avec un grand P. J'y vais de moins en moins, sauf pour placer des photos de paysages de mon coin de pays sur Instagram. Si j'avais un chat, il aurait la cote, mais j'ai un vieux chien qui est en fin de vie, c'est une autre histoire. C'est fou comme la toile Internet a changé avec les années et pas en mieux. Faut y aller avec parcimonie. 

La retraite arrive à grands pas, fin octobre. Mon projet d'écrire, un roman politico-historique est commencé. Aussitôt que j'ai du temps libre, je tape sur mon clavier. Je ne vise aucunement à être publiée (je vous jure). Je suis une fille logique. Faut être connu, reconnu ou avoir un talent exceptionnel. Je n'ai ni un, ni l'autre. Juste le goût de mélanger, comme en cuisine, mes passions. L'époque, celle avant la colonisation du Saguenay-Lac-St-Jean et de mes ancêtres. Faire des recherches m'apporte autant de joie que d'écrire. Je me retrouve dans un labyrinthe de surprises et de découvertes. La généalogie et l'histoire sont mes drogues comme un partisan du Canadien de Montréal ou anciennement des Nordiques de Québec. J'aime les overdoses de connaissances. Si vous me demandez avec qui j'aimerais partager un repas ? Un historien, voyons, pis du vin ! Pauvre de lui. Chronomètre dans ma main, il aurait déjà disparu ! 

Nature, yoga, écriture, marche, famille, amis, sont mes leitmotivs. J'allais oublier Netflix. En ce moment, Blindspot. OMG ! 

Bon, comme dirait ma mère, rien de spécial, c'est bien tranquille. Pianoter sur un clavier, j'aime ça. C'est comme parler. Cela ne veut pas dire que je parle bien. Mes ailes sont ouvertes, je plane. Je vous en souhaite autant.