lundi 15 octobre 2018

Lara Fabian dans toute sa splendeur


Crédit photo: moi

C’est fou comme le temps passe vite.  Ça fait presque 30 ans que je suis la carrière de ma chanteuse préférée Lara Fabian (Crokaert) avec une bonne vingtaine de shows à mon actif pour ne pas dire derrière la cravate. Elle habite mon quotidien, ma vie, où y sont déposés de nombreux souvenirs.   Mon grand plaisir de la dernière année est de mettre mes écouteurs sur les oreilles et d’aller l’entendre en poussant la note sur le bord de ma rivière Lombrette ou en compagnie des vaches de mon voisin M. Racine.  Je fausse, mais elles aiment !

Hier soir, cette grande voix au cœur d’or a fait vibrer à l’unisson le Centre Vidéotron à Québec.  Accompagnée de 5 musiciens et 2 choristes, sans fla-fla, L’auteure-compositrice et interprète nous a ébloui en interprétant ses grands succès revisités avec de nouveaux arrangements électro-pop ainsi que ceux de son dernier album Camouflage en anglais. Je l’ai toujours préféré dans la langue de Shakespeare que de Molière.  J’ai aucune idée du pourquoi du pourquoi, mais c’est comme ça.  Je baragouine donc les paroles en anglais, c'est pas joli, mais c'est merveilleux quand même (très thérapeutique) ! Bon, revenons au spectacle. Faut oublier ses problèmes de surdité de 2014 que j’avais pu malheureusement constater au Capitole de Québec parce qu’hier, elle était en possession de tous ses moyens, éblouissante dans toute sa splendeur. 

Ce matin, j’ai des ailes dans le dos.  Je flotte parce que j’ai eu la chance de la rencontrer.  Y a de ces moments de vie qui font qu’on aimerait arrêter le temps. Pas question de vivre le moment présent, moi, je suis encore hier et je compte bien y rester !  Et puis, c’est même pas encombrant des ailes ! 



On peut voir un peu mes ailes dans le dos !  ;) 



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