dimanche 24 janvier 2016

De Muse à Céline





Et oui, vendredi, au retour du travail,  je me suis tapée religieusement l'enregistrement des funérailles de mon idole René Angelil... Mon chum et notre fille ont trouvé la cérémonie touchante voire triste, moi, avec mon verre de vin blanc (lire 2 même 3) et ma boîte de Kleenex, j'étais inconsolable, complètement en larmes... Une chance que je ne le connaissais pas personnellement !  Le cimetière Côte-des-Neiges va me voir la binette cet été !  Et pourquoi pas le Musée Grévin à Montréal ! 

Hier, soirée musicale parfaite avec Muse au Centre Vidéotron.  Tout un show !  Le seul bémol qui me vient à l'esprit, c'est qu'ils ne sont pas très chaleureux.  Ils sont mécaniques.  Et voilà... Ce matin, après mon yoga, j'ai écouté en boucle Céline en français (1 fille, 4 types), son meilleur... Pourquoi ? J'aime la musique, certes, j'aime surtout la fragilité de l'artiste dans l'oeuvre artistique.  Et comme le disait si bien ma prof de yoga, LA FORCE DANS LA FRAGILITÉ... 

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