Photo: 7 juin dernier, deux heures (2) d'attente à l'Assemblée nationale (dépouille en chapelle ardente de M. Parizeau).
Il y a de ces politiciens qui méritent notre respect plus que d'autres parce que nous savons très bien qu'ils entrent en politique à la manière de religieux servant leurs idéologies, c'est-à-dire avec coeur et passion. Monsieur Parizeau était l'un d'entre eux. Sa dévotion était sincère, ses réalisations inestimables surtout avec la création de La caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) en 1965 pour ne nommer que celle-là. L'homme impressionnait par sa grande intelligence, ses connaissances et sa facilité à rendre accessible une matière aride voire rébarbative pour plusieurs, l'économie.
Il y a de ces politiciens qui méritent notre respect plus que d'autres parce que nous savons très bien qu'ils entrent en politique à la manière de religieux servant leurs idéologies, c'est-à-dire avec coeur et passion. Monsieur Parizeau était l'un d'entre eux. Sa dévotion était sincère, ses réalisations inestimables surtout avec la création de La caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) en 1965 pour ne nommer que celle-là. L'homme impressionnait par sa grande intelligence, ses connaissances et sa facilité à rendre accessible une matière aride voire rébarbative pour plusieurs, l'économie.
Encore aujourd'hui, les orteils me frisent lorsque je pense au référendum de 1995 perdu par seulement 54,288 de voix. Puis vint l'époque où ''Monsieur'' devint un ''persona non grata'' en raison d'une désolante déclaration (l'argent et les votes ethniques) qui fit grand bruit à l'époque. Depuis ce temps, les québécois sont plus nuancés mais sont toujours aussi mêlés.
Cher Monsieur, comme le chante si bien Charles Aznavour, ''Que c'est triste Venise Le Québec'' sans vous ! En regardant le ciel, soyons attentifs, vous y brillerez en étoile fleurdelisée. Merci pour tout !
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