Florence. Crédit photo: moi-même
Me voici, me voilà ! Petit coucou entre ma vie ordinaire que
je trouve pas mal extraordinaire et les retouches à mon manuscrit avec mon nouveau
pote Antidote. Ça rime en crime ! Non, mais, ce logiciel de correction est une
merveille ! Un indispensable pour la gribouilleuse que je suis. Ce qui fait que,
dernièrement, j’ai bûché comme une malade à paraphraser au lieu de citer des
références (merci Diane pour tes conseils !). La prochaine fois, pas question d'écrire un roman historique ! Roman, tout court, fera l'affaire !
Ceci dit, je suis rendue à bonifier, réécrite, ajouter,
enlever, changer, tout ce qui m’agace. Autre joie, j’ai retrouvé mes
personnages, que je suis la seule à connaître si bien. J’avoue que ce travail me
grise royalement ! Un peu comme le syndrome de Stendhal ou de Florence. Vous
connaissez ? Une sorte d’extase au sublime. Ah l’Italie ! Que de beaux
souvenirs ! Suis-je vraiment revenue ? Je rêve encore à toi, tu sais...
Certes, ce n’est pas que mon manuscrit est un chef-d’œuvre, mais c’est plutôt le chemin que je prends pour réaliser mon rêve qu’il l’est. J’ai une écriture vieillotte, complètement différente de mon blogue. Je parfume mes mots autrement. Je les habille d’une nouvelle manière. C’est un jeu avec moi-même. Vieillir, c’est aimer se surprendre et décider de repartir...
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