Pendant que de plus en plus de gens
que je connais passent en mode retraite, moi, comme beaucoup de québécois, je
suis en mode vacances pour deux semaines.
Je n’arrive pas à savoir si je les envie ou les plains, je regarde le
train passer, sans vouloir y embarquer.
Évidemment, le luxe de prendre sa retraite tôt n’est pas accessible à
tout le monde et patati et patata…
C’est donc enfin le moment de prendre
une pause, de me gâter et de profiter de mes précieuses journées pour resserrer
des liens et retisser des fils invisibles qui me relient à mes amours et mes
amis.
Bien sûr, je veux faire de belles
découvertes, mais je désire vivre à la vitesse tortue, remettre le compteur à
zéro. Dans ma valise, beaucoup de
vêtements mous et la résolution de ne pas aller sur les réseaux sociaux, parce
que la vraie vie, celle où nos cinq sens partent à l’aventure, me semble plus enrichissante.
Le temps des vacances, c’est
le temps d'aimer… Pas moi qui le dis, c’est une vieille chanson du beau Pierre
Lalonde qui a fait succès dans les années 70. Cette année, mes vacances au Québec seront
sur la route des souvenirs. À suivre…
Aucun commentaire:
Publier un commentaire