Crédit photo: moi
Ici,
là, maintenant, pendant que je réfléchis tout bas et que ça reste
entre vous et moi… j’suis plus capable d’entendre ce mantra à la mode qui est
venu supplanter le tout à fait dans les
médias. Lorsque ça devient populaire,
j’accroche moins, ça m’agace. Tenez,
comme le verbe polariser et le mot amalgame dans le jargon des chroniqueurs,
sans oublier l’appropriation culturelle
depuis la controverse des productions SLAV et Kanata de Robert Lepage. Décidément, la redondance de ces utilisations
m’exaspèrent. Loin d’être parfaite, j’ai
comme bien des gens un patois répétitif. À la fin d’une phrase, un en tout cas… Il semblerait que c’est une
déformation de la locution ‘’dans tous les cas’’ présente dans le dictionnaire de L’Académie
française, début du 18ème siècle. Ah bon, le passé restera toujours intemporel à mes yeux.
Parce qu’hier, avant-hier et des
poussières ont existé et sont encore présents de par nos souvenirs et/ou leurs conséquences. Début juin, sommet du G7 dans Charlevoix, Après
des dépenses de 600 millions de dollars, que reste-t-il au final ? Un tweet insultant de monsieur Trump envers
notre extravagant Justin Trudeau. À
bien y penser, mes cheveux me frisent comme ceux de Hubert Lenoir,
auteur-compositeur-interprète, le petit nouveau, saveur du mois, avec une fleur
de lys sur la fesse gauche ou la droite, enfin, peu importe l’endroit. Pour
revenir à mes cheveux, la chaleur extrême et l’humidex font que, même si
j’utilise mon fer à plat, ils deviennent bouclés. Gros
problème insignifiant de fifille (dans mon cas mamie qui veut rester jeune le
plus longtemps possible) si je compare à la légalisation du cannabis le 17 octobre
prochain. Ça ne me dit rien de bon. Un vin est tellement goûteux et puis je fais
de l’asthme. Pas sûr que le légaliser va aider à contrer le marché noir. Guerre de prix, THC plus élevé, exportation
illégale et vente sur la toile…
Dans le fond, j’aime mieux penser à,
ici, là, maintenant… Et tout cas…
Aucun commentaire:
Publier un commentaire